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En temps de crue, le trou est parcouru par l'eau dans sa totalité. Le réseau d'entrée doit devenir très arrosé, c'est pour cette raison que le boyau de -50 se rebouche.
Par temps sec : On rencontre la première rivière à -140 (l'affluent de la fleur), celle-ci rejoint celle de Roche chalve -171. La relation est officielle entre roche chalve et le trou du cœur (voir plongée dans le dossier « travesée inattendue ». L'amont vers roche chalve siphonne au bout de quelques mètres. A l'aval un nouveau siphon de 10m de longueur (shunté heureusement) précède les cascades jusqu'à -232. Un niveau plus horizontal engendre un siphon de 6 m à -239 (shunté également).La rivière parcours encore la suite mais se jette dans un P17 à -256 et descend jusqu'au siphon de -303 qui se situe dans l'urgonien.
Le réseau fossile commence à -239. Très vite, une cascade se jette dans le réseau et en parcours le fond pendant 100 à 150 m et se perd. Il doit probablement rejoindre la rivière avant le siphon de -303 (où une arrivée impénétrable active est repérée). Le réseau redeviens fossile jusqu'à -334 où il rejoint la rivière. Celle-ci a été remonté jusqu'au siphon (le réseau est plus étroit).La suite est uniforme, marmirtes, ressauts, cascades, jusqu'à -361 où on rencontre la couche à orbitoline, là elle coule dans un surcreusement en méandre 10 m plus bas. On retrouve le parcours en ressauts, cascade et marmite de -396 jusqu'au fond où un siphon (1.5m de large et 1 m de haut marque la fin des explorations. -460m.
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